Contes en Origami est un spectacle mêlant contes (traditionnels / modernes / originaux) et art de l’origami, où les personnages et décors prennent vie grâce à des pliages de papier.
Junko raconte ses histoires en utilisant un décor sous forme de Kamishibaï – un théâtre narratif japonais où des illustrations défilent devant les spectateurs.
Les pliages d’origami sont déjà intégrés aux images, ou sont aussi réalisés en direct, réant une magie unique.
Avec sa voix, ses expressions corporelles, ses chants et la manipulation des personnages, Junko transporte le public dans un univers interactif et inédit.
Le spectacle peut se faire avec l'atelier d'origami préalable : Contes en origami avec son atelier d'origami
De et par Junko Murakami
(l’Écho Républicain)
Programme proposé selon le public
Urashima Taro (conte japonais)
Le pêcheur qui, pour avoir sauvé une tortue, fut invité au palais du Dieu de la mer.
Momo-taro (conte japonais)
Le garçon né dans une pêche qui part affronter les ogres.
Le mariage de la souris
Une famille de souris vit heureuse dans les champs. Un jour papa souris décide qu’il est temps de trouver un mari à mademoiselle petite souris ; mais celui-ci devra être le mari le plus fort au monde...
Qui sera-t-il ?
Kaidan
Histoires de fantômes et de Yokai japonais.
Les Yokai sont des esprits ou des apparitions étranges. Ce sont des créatures surnaturelles dans les légendes japonaises.
Jeux chantés
Qui est caché sous cette enveloppe d’origami ?
Un jeu de devinettes en Origami suivi d’une chanson japonaise.
Des comptines chantées avec des jeux de marionnettes...
Kamishibaï
Des illustrations du kamishibaï en Origami.
Kamishibaï est un genre narratif japonais, sorte de théâtre ambulant pour raconter des histoires en faisant défiler des illustrations devant les spectateurs.
Note de la créatrice (Junko Murakami)
« Origami » est un art ancestral magique : avec quelques pliages un simple papier carré se transforme en animaux, en personnages, en objets ou en éléments de la nature ou de décor. Lorsque j’ai décidé de dire des contes (traditionnels japonais/modernes/originaux) au public, j’ai tout de suite pensé à utiliser les origamis pour visualiser les histoires. C’est ainsi que « Contes en Origami » est né.
« Contes en Origami » est un spectacle de contes interactif : je raconte les histoires de contes en pliant des feuilles d’origami, en utilisant les tableaux du kamishibaï créés par des images d’origami, et parfois apparaissent aussi les personnages que les participants ont créés au préalable pendant l’atelier. Grâce à origami, les contes gagnent en profondeur avec des matières, des couleurs, en deux et même trois dimensions !
Articles de presse
L'Echo Républicain
Dans l’univers des contes japonais...
Plus de 130 personnes ont assisté, jeudi, à la salle des fêtes, à un conte en kamishibaï et origami : Urashima et Momo-taro interprété par Junko Murakami. Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Festival des contes et légendes, proposé par l'association du Festival le Légendaire, relayé par la municipalité castelneuvienne.
Comedia delle arte
L'artiste est née à Tokyo mais c'est à Paris qu'elle suit la formation de l'École internationale de théâtre Jacques-Lecoq puis intègre l'école internationale de création théâtrale Kiklos à Padoue (Italie).
Gestuelle
Elle y étudie différents styles de théâtre : mime, tragédie, commedia dell'arte, bouffon, clown et divers personnages comiques...
Pour le public, ce spectacle était un enchantement, où la voix de la conteuse est prolongée par sa gestuelle et ses illustrations du kamishibaï en origami.
CHÂTEAUNEUF-EN-THYMERAIS
Publié le 04/11/2018
Lire l'article de L'Echo Républicain
Le Républicain Lorrain
Le Festival jeune public Les Instants T a accueilli Junko Murakami. L’artiste japonaise a présenté aux écoliers, un nouveau concept, l’ayatori-conte. Rencontre.
Qu’est-ce que l’ayatori ?
Junko MURAKAMI : « L’ayatori, c’est le jeu de la ficelle avec les doigts. Dans les années 70, les écoliers apportaient de quoi s’occuper pendant la récré : osselets ou billes pour les garçons, cordes à sauter ou élastique pour les filles. Parmi ces divertissements, il y avait aussi le jeu de la ficelle. Seul ou à deux, on pouvait réaliser des figures avec un bout de laine. C’est un jeu qui existe dans tous les pays du monde. »
En quoi consistait l’animation ?
« J’ai tout d’abord souhaité faire découvrir la culture japonaise à travers l’histoire d’Urashima Tarô, un modeste pêcheur qui sauve la vie d’une tortue marine géante. En remerciement, cette dernière l’invite au royaume du dieu des mers... Et tout en racontant ce conte très ancien, j’ai invité les enfants à contribuer aux décors et à réaliser des personnages de l’histoire en origami que j’exposais au fur et à mesure sur des grandes feuilles. Puis j’ai initié les écoliers aux jeux de la ficelle. »
Comment ont réagi les enfants ?
« Après plusieurs manipulations, les enfants ont réalisé des fleurs, un papillon ou encore un crabe qui se transforme en petite fille. Ils ont été surpris de voir qu’on pouvait s’amuser avec un simple bout de laine. Chacun est ensuite reparti avec une ficelle pour s’exercer. »
Quels sont vos projets ?
« Lors de ma venue au gymnase culturel pour le 3e Festival Cultures du monde, la régisseuse de mon spectacle, Princesse Monokini est née au Japon, Fabienne Breitman également réalisatrice de film, est tombée amoureuse de ce lieu culturel, niché à l’orée de la forêt. Elle projette de tourner un film sur le spectacle, ici à Faulquemont. »
Langues : français ou japonais
Age requis : Tout public (à partir de 0 an )
Durée :
30 minutes
45 minutes
Jauge idéale : 80 personnes
Espace scénique : Kamishibaï d’une taille de H50 x L70
Dans une salle ou Scène au sol ou Scène en hauteur (en intérieur ou en extérieur)
(à demander aux organisateurs)
- une table de plus de 1m de longueur
Tarif de base pour une représentation
1.) 30 minutes : à partir de 550 € TTC + droits d'auteur (SACD)**
2.) 45 minutes : à partir de 650 € TTC + droits d'auteur (SACD)**